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news cgt Crolles2 n°16

Après la pétition de l’Intersyndicale et la longue rencontre avec le préfet, la CGT continue de se mobiliser pour l’avenir de Crolles.

Lundi 2 avril :


Bernard Thibault, secrétaire général de la CGT, était présent à Crolles, dans le cadre d’une campagne de syndicalisation, mais aussi pour rappeler aux médias les problèmes auxquels est confronté le site aujourd’hui. Le constat est le même dans plusieurs entreprises (Alcatel-Lucent, Airbus, GDF…), pour des causes elles-mêmes identiques : l’exigence d’un plus grand taux de rentabilité financière pour les actionnaires.

(…) Le syndicalisme a besoin de se renforcer pour être une force collective qui compte. Une force dont les propositions pour sortir de la crise sociale actuelle soient retenues.
Prenons l’exemple des conflits AIRBUS et ALCATEL-LUCENT. Voilà des groupes de premier plan, dont le carnet de commandes est rempli pour plusieurs années, qui font des bénéfices dans des domaines de hautes technologies, et qui annoncent des plans de restructurations drastiques à l’échelle internationale dont l’une des conséquences est la fermeture ou la vente d’usines et la suppression de plusieurs milliers de postes et bien plus encore dans leurs réseaux d’entreprises sous-traitantes.
C’est un énorme gâchis industriel, technologique et humain !
Lorsqu’on sait que l’unique motivation de ces plans est l’exigence d’un plus grand taux de rentabilité financière pour les actionnaires, la bataille syndicale ne peut se cantonner à rendre le scandale socialement supportable. Les salariés doivent pouvoir débattre du bien-fondé des choix stratégiques et financiers qui conditionnent l’avenir des entreprises.
Les logiques à l’œuvre chez Alcatel-Lucent et chez Airbus, on les retrouve ici à Grenoble au sein de vos entreprises du pôle micro-électronique : STMicroelectronics, NXP, Freescale … (…)

Lire l’intervention sur la microélectronique :
source: http://cgt.byrad.org/spip.php?article103
Réaction de la CGT suite au bouclage du site lors de cette intervention :
source: http://cgt.byrad.org/spip.php?article104 
Article du Dauphiné Libéré du 3 avril 2007 (www.ledauphine.com) :
source: http://cgtfreescalecrolles.free.fr/scans/DL_2007_04_03.jpg
Reportage de France 3 du 2 avril 2007 (jt.france3.fr) :
source: http://cgtfreescalecrolles.free.fr/videos/france3_07_04_02.wmv


Mardi 3 avril :


La CGT a organisé une journée de réunion avec des syndiqués d’entreprises de notre filière (ST, Freescale, Soitec, CEA-LETI, GEM+ …) afin d’essayer de mieux comprendre les évolutions de notre secteur ces dernières années et ce qui se dessine pour demain.

En soirée, un débat public a eu lieu à la maison du tourisme sur le thème de l’industrie de la microélectronique.


Jeudi 5 avril :

Une délégation de la CGT a rencontré M. Brotte, député maire de Crolles. Suite aux annonces du mois de janvier, ce dernier avait déclaré à l’époque qu’en ce qui concernait ST à Crolles, il restait optimiste ("le bilan parle pour l’avenir"), alors que depuis l’automne la CGT alertait sur la situation engendrée par la fragilisation de l’Alliance après les LBO, et depuis janvier sur le retrait de NXP, de la R&D Freescale et l’annonce que la R&D ST ne serait plus menée à Crolles sur le core process au-delà de 45nm. Depuis janvier, sa position a beaucoup évolué et il nous rejoint sur beaucoup de nos constats et analyses.

Le 1er mars, nous avions rencontré M. Destot, maire de Grenoble :
source: http://cgtfreescale.free.fr/index.php/2007/03/12/60-news-cgt-crolles2-n10
Suite à cette réunion, un groupe d’élus socialistes (dont Messieurs Brotte et Destot) ont écrit une lettre au 1er Ministre lui faisant part de leur vive inquiétude concernant l’avenir du site et l’impact probable des annonces de janvier sur  le bassin grenoblois :
source: http://cgtfreescalecrolles.free.fr/pdf/Lettre%20PS%20Villepin.pdf
source: http://cgtfreescale.free.fr/index.php/2007/04/02/66-news-cgt-crolles2-n14

Nous avons donc demandé à M. Brotte ce qui motivait cette prise de position. Il nous a répondu avoir démarché, en compagnie de M. Joël  Monnier, les principaux acteurs gravitant autour du dossier STmicro (industriels, ministères, gouvernement, conseil d’administration…). Et en avoir tiré deux informations principales:

  • la gouvernance de ST pose de gros problèmes : pour M. Bozotti, le rôle dévolu à Crolles est appelé à évoluer, pas dans le bon sens.
  • il n’y a pas aujourd’hui de volonté en haut niveau de peser sur la gouvernance de ST (remplacer M. Bozotti est pourtant très faisable avec 20 % de public, à comparer avec les 15 % d’Airbus)

A cela, il faut ajouter le contexte local, les rancoeurs que peuvent avoir certains habitants de la vallée vis-a-vis du développement du site :

  • les entreprises historiques locales (papeteries, etc.) qui critiquent les subventions importantes reçues par le site alors qu’elles disparaissent les unes après les autres depuis quelques années
  • les habitants de la vallée que la multiplication des prix de l’immobilier par 2 ou 3 empêche de se loger convenablement
  • un groupe "anti-technologies" qui demande la fermeture du site (pollution, occupation de terres fertiles, subventions jugées abusives, fabrication d’armes de destructions massives via les puces) et mobilise de plus en plus sur Grenoble
  • les communes alentour, qui n’ont pas bénéficié des mêmes retombées financière que Crolles
  • d’une manière générale, on ne va pas pleurer sur des ingénieurs, il y a tellement de personnes qui sont vraiment dans la misère

Bien sûr, on peut discuter ces arguments un à un, et cela a notamment été fait lors du débat public de mardi. Par ailleurs, la majorité de la population a aussi conscience que l’immobilier a explosé partout en France ces 6 dernières années, que 50 % des salariés de Crolles sont des opérateurs qui commencent au SMIC, que la Science n’est pas le Mal, mais que l’on peut très certainement critiquer son usage via la politique (des hôpitaux oui, des armes non).

Mais le problème est que puisque le site de Crolles est critiqué, puisque son avenir est aujourd’hui fortement compromis, que font les principaux intéressés : les salariés ?

Trois autres constatations :

  1. Coté salariés : M. Bozotti a annoncé en janvier que la diminution de la R&D à Crolles était enclenchée. C’était il y a 3 mois, mais les salariés, s’ils partagent l’inquiétude de l’Intersyndicale du site, ne le démontrent pas par une forte mobilisation : pour le moment, les Directions ont le champ libre.

  2. Coté gouvernement français : élections obligent, le dossier n’avancera pas avant le second tour, puis il faudra le temps que le nouveau gouvernement se l’approprie. Entre les annonces de janvier et le traitement du dossier Crolles au niveau du gouvernement, au moins 6 mois se seront écoulés. M. Bozotti répondra aux sollicitations des salariés et des états actionnaires en disant que ces décisions ont été prises il y a 6 mois déjà et que l’on ne peut revenir dessus aujourd’hui, qu’il est trop tard de toutes manières : les Directions ont le champ libre.

  3. Coté gouvernement italien : les 2 000 salariés italiens de ST travaillant dans les mémoires vont quitter ST pour une spin-off (avec Intel selon la rumeur). Le gouvernement italien pourrait prendre prétexte du départ de ces 2 000 salariés pour revendre les parts de ST qui lui restent sans rencontrer beaucoup d’opposition. Mais il n’y aurait alors plus la minorité de blocage empêchant la vente de ST à un fond d’investissement, comme ce fut le cas de NXP et Freescale.

La gouvernance de M. Bozotti est directement mise en cause par l’intersyndicale et l’ensemble des élus politiques locaux. Nous avons tous de fortes présomptions que ses intentions soient aussi simples que terribles : découper ST, se départir des sites/activités les moins rentables, pousser les gouvernements à l’inaction, voire à vendre les parts leur conférant encore une minorité de blocage (et encore, pour 2 ans seulement via un dispositif complexe), puis le revendre au prix fort et réaliser ainsi la même plus-value qu’ont empoché personnellement les top-managements de NXP et Freescale quand ils ont vendu leur entreprise à des fonds de pension américains via LBO. On connaît la suite… forte dette contractée (l’entreprise rachetée rembourse la dette de l’acquéreur contractée au cours de l’opération), pression sur les effectifs, baisse de la R&D, focus sur le cash-flow, etc.

Nous nous engageons pour contrecarrer cette logique.

Si l’analyse de la CGT vous interpelle, si les démarches qu’elle mène pour vous défendre vous semblent aller dans le bon sens,

si vous voulez les voir croître en nombre et en force : contactez-nous !

CE Freescale 29 mars :


Lors du CE du 29 mars, les membres élus ont remis une lettre ouverte à la Direction.
source: http://cefsl.blogspot.com/2007/04/compte-rendu-du-30-mars-2007.html
Les membres élus du CE ont demandé et obtenu un congés sans soldes de 4 mois, permettant aux salariés Freescale de travailler pour une autre entreprise et de pouvoir revenir en cas de renoncement à ce nouvel emploie dans les 4 mois qui suivent. Dans cet intervalle, ils restent comptabilisés dans les effectifs Freescale et sont éligibles aux conditions d’un éventuel PSE. Jusqu’à maintenant, les démissionnaires n’ont pas effectué leur préavis de départ, mais ces 3 mois leur ont été tout de même partiellement payé. Cela dit, il n’y a pas vraiment de règle sur ce point.
Par la suite, des réunions ont été organisées mercredi 11 avril afin notamment d’expliquer aux salariés la situation de Freescale Crolles.

Un constat partagé par les élus CE et syndicaux : les négociations avec la Direction se feront en fonction de la mobilisation des salariés (les salariés NXP l’ont bien compris et ne lésinent pas sur les moyens).
C’est l’affaire de tous : les salariés qui désirent se défendre et participer le peuvent en participant aux réunions et en partageant des infos, des idées.
La CGT organise souvent des réunions d’information sur le site (pensez à regarder les panneaux d’affichage), les CE FSL/NXP ont aussi pris cette initiative. Ces réunions sont l’occasion de débattre et de s’investir : faites-le au moins pour vous, personne ne le fera à votre place.


Crolles : Questions au gouvernement à l’Assemblée Nationale :

Le groupe des député(é)s communistes et républicains à l’Assemblée Nationale nous fait part de sa préoccupation concernant le dossier Crolles. Cela se concrétise par une question écrite au gouvernement dans le cadre de l’Assemblée Nationale, portant sur l’avenir du site de Crolles.

Par ailleurs, un travail d’étude sur les LBO est en cours suite à l’initiative de ce même groupe. Une proposition de résolution est faite, qui revient sur le rôle de groupes tels que KKR (NXP) et Blackstone (Freescale), le montage LBO et les conséquences sur les sociétés ainsi rachetées. Elle est basée sur un rapport fait "AU NOM DE LA COMMISSION DES FINANCES, DE L’ÉCONOMIE GÉNÉRALE ET DU PLAN "

Lire la question posée au gouvernement:
source: http://cgtfreescalecrolles.free.fr/doc/QE%20Crolles%2006%2004%2007%20mel.doc

Lire le rapport fait "AU NOM DE LA COMMISSION DES FINANCES, DE L’ÉCONOMIE GÉNÉRALE ET DU PLAN SUR LA PROPOSITION DE RÉSOLUTION (n° 3491) de M. Alain BOCQUET, tendant à la création d’une commission d’enquête sur la place et le rôle des fonds d’investissement dans l’économie, sur leurs méthodes d’acquisition d’entreprises par effet de levier appelées LBO, sur les conséquences de telles pratiques pour l’emploi, les salaires et les conditions de travail ainsi que sur les solutions alternatives qui pourraient être mises en œuvre à partir de la constitution d’un pôle financier public."
source: http://cgtfreescalecrolles.free.fr/doc/Rapport%20Bocquet%20LBO.doc

Lire : PROPOSITION DE RÉSOLUTION tendant à la création d’une commission d’enquête sur la place et le rôle des fonds d’investissement dans l’économie, sur leurs méthodes d’acquisition d’entreprises par effet de levier appelées LBO, sur les conséquences de telles pratiques pour l’emploi, les salaires et les conditions de travail ainsi que sur les solutions alternatives qui pourraient être mises en oeuvre à partir de la constitution d’un pôle financier public.
source: http://cgtfreescalecrolles.free.fr/doc/PPR%20LBO.doc.pdf

Suite à cette proposition :
A l’issue de la présentation de ce rapport, la majorité de la Commission a rejeté l’’hypothèse de la création d’une commission d’enquête en raison des contraintes du calendrier parlementaire et des échéances électorales. Pour autant, elle a décidé, à l’unanimité, d’entamer, sans attendre, de premiers travaux d’études sur un sujet qui suscite des interrogations et des préoccupations légitimes.
Il reviendra à la prochaine Commission, issue de la future Assemblée élue en juin prochain, de poursuivre le chantier ouvert, à travers par exemple une mission d’information. D’ores et déjà, il a été décidé de procéder à une série d’auditions de nature à éclairer la représentation nationale.
Il a notamment été suggéré de solliciter l’avis de représentants de l’association d’investisseurs en capital, l’AFIC, de syndicalistes réunis au sein du Collectif LBO et de gérants du fonds rattaché à la Caisse des dépôts et consignations, CDC Industrie.


Médias :

Flash back 26 octobre 2005, après l’arrivée de M. Bozotti à la tête de ST :
"générer de la valeur pour les actionnaires" = perdre une activité ?
Il semblerait que l’intérêt des grandes entreprises ne soit pas toujours celui de ses salariés
(…) Interrogé sur la politique du groupe concernant ses activités de mémoires, un secteur en graves difficultés, M. Bozzoti a "confirmé que le groupe compte générer de la valeur pour ses actionnaires avec cette activité". Cela "peut prendre plusieurs voies", a-t-il indiqué, en évoquant les effets positifs du transfert de l’activité vers l’Asie et éventuellement un partenariat avec un autre groupe du secteur.(…)
source: http://fr.advfn.com/actualites/STMicro-programme-deconomies-dans-les-clous-pl_12951014.html

Les échos, 13 mars 2007 :
(…) L’action STMicroelectronics (ST) était particulièrement recherchée hier, tant à Paris qu’à Milan, à la suite de rumeurs de marché évoquant un accord avec l’américain Intel. A Paris, le titre clôturait en hausse de plus de 3 %. Selon des sources concordantes, les deux groupes négocient la création d’une coentreprise dans le domaine des mémoires flash. Un troisième partenaire, sans doute un fonds d’investissement, pourrait également participer à l’opération (…)
source: http://www.lesechos.fr/journal20070413/lec2_technologies_de_l_information/4563595.htm

Les augmentations des salariés ST sont repoussées… pas celles des dividendes des actionnaires : x2,5 en 1 an
historique des dividendes ST :
source: http://cgt.byrad.org/IMG/pdf_ST-Dividendes-2001-2007_SB-070328.pdf
tract ST du 29 mars 2007 :
source: http://cgt.byrad.org/spip.php?action=dw2_out&id=51

Silicon.fr, 29 mars 2007 :
Interrogé dans le quotidien Les Échos, le groupe STMicroelectronics a déclaré : "L’Europe ne constitue plus une zone géographique où l’industrie des semi-conducteurs investit."
source: http://www.silicon.fr/fr/silicon/news/2007/03/29/france-ventes-de-puces

Electronique Internationale :
du 2 avril 2007 :"TSMC et UMC ont contrôlé 69 % du marché de la fonderie en 2006"
source: http://www.electronique.biz/article/345218.html
du 3 avril 2007 :"Nouvelle baisse des ventes mondiales de semiconducteurs en février"
source: http://www.electronique.biz/article/345301.html
du 11 avril 2007 :"Production Cmos 45 nm : c’est pour septembre chez TSMC !"
source: http://www.electronique.biz/article/345902.html
du 12 avril 2007 :"Augmentation en vue pour le prix de vente moyen des semiconducteurs"
source: http://www.electronique.biz/article/345984.html


CGT cadre :


La lettre de l’UGICT – Mars/Avril
IBM : les syndicats dénoncent 450 suppressions d’emplois => http://www.ugict.cgt.fr/nvsite/lettre/lettre164.pdf
(…) « Au cours des deux dernières années, sous couvert de l’accord GPEC, la direction française a supprimé près de 2 000 emplois, soit 20 % de ses effectifs :
1 400 supprimés en 2005 (alors que son plan initial n’en prévoyait que 732) et 450, en 2006, notamment en ne remplaçant pas tous les départs en retraite » (…)
Métallurgie : recul des effectifs d’ici 2015.

Une étude publiée par l’Observatoire des métiers et qualifications de la métallurgie jeudi 22 mars indique que la métallurgie devrait perdre entre 25 000 et 50 000 emplois chaque année en France d’ici 2015, les 150 000 départs prévus par an ne devant être que partiellement compensés par des embauches, généralement sur
des postes qualifiés.

La croissance moins importante de la production dans la branche, associée aux gains de productivité, expliquent la diminution du nombre d’emplois. Elle sera particulièrement marquée dans les secteurs de la construction navale, aéronautique et ferroviaire (-2,5 % de taux de croissance annuel de l’emploi dans
un scénario moyen), de l’industrie des équipements électriques et électroniques (-2,5 %) et de l’industrie automobile (-1,7 %).
Sondage CSA pour l’Ugict-CGT : réalités cadres => http://www.ugict.cgt.fr/nvsite/lettre/lettre165.pdf

Alcatel-Lucent : la mobilisation ne désarme pas
Chiffres du chômage : Eurostat renvoie le gouvernement dans les cordes
Entreprises : plus de syndicats, mais toujours pas assez de syndiqués
Un syndicalisme spécifique de proximité pour les cadres => http://www.ugict.cgt.fr/nvsite/lettre/lettre166.pdf
Alcatel-Lucent : négociations sur fond de mobilisation


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http://www.ugict.cgt.fr                          => CGT cadres
http://cgtfreescale.free.fr                       => CGT FSL Toulouse
http://cgt.byrad.org                               => CGT ST
http://www.collectif-lbo.org                  => informations LBO
http://compass.freescale.net/go/c2chsct => CHSCT FSL Crolles
http://compass.freescale.net/go/c2ce     => CE FSL Crolles: intranet
http://cefsl.blogspot.com                       => CE FSL Crolles: internet

 

A propos de l'auteur

Admin

Mai 1970--"La Société Motorola estime qu'elle ne peut avoir de bons résultats que s'il n'y a pas de politique dans l'entreprise". "Il n'y a qu'un syndicat indépendant dans l'usine (Unité - Chefs, contre-maîtres)". " Motorola s'opposera fermement à ce que la politique entre un jour dans l'entreprise et vienne perturber par des grèves spontanées ou calculées, la bonne marche de l'usine. En Amérique il en est ainsi, il n'y a pas de raison qu'il n'en soit pas de même en France".

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