Mercredi 17 février, Ghislaine, notre collègue, a été convoquée à un entretien préalable au licenciement dans les bureaux de la DRH.
Au vu d’un dossier vide d’éléments, cela aurait pu concerner m’importe quel autre salarié en lieu et place de la sienne.
De plus, depuis le 15 février, Ghislaine est en mise à pied conservatoire ce qui, à la connaissance des motifs qui lui ont été énoncés, est une totale aberration !
Ceux qui ont été présents, en nombre, pour soutenir Ghislaine, ont démontré leur humanité et leur conscience de la situation. Ils ont refusé le licenciement d’une personne qui n’a rien à se reprocher, qui n’a commis aucune faute professionnelle et qui a défendu les intérêts de tous depuis l’annonce du 22 avril 2009.
Ceux qui n’ont pas bougé pour elle ne doivent pas se rendre compte qu’ils seront peut être demain à la place de Ghislaine si nous ne nous défendons pas collectivement.
Affaire à suivre…
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